tag:blogger.com,1999:blog-4732893028428796833.post4889488710392375959..comments2023-07-27T17:12:20.270+02:00Comments on Chez Sentinelle: Extrait : La langue de ma mère de Tom LanoyeVéronique Hottathttp://www.blogger.com/profile/15678426383021786529noreply@blogger.comBlogger6125tag:blogger.com,1999:blog-4732893028428796833.post-56716626604392430512015-12-19T12:17:30.059+01:002015-12-19T12:17:30.059+01:00Ahah voilà un mot bien de chez nous, il est vrai !...Ahah voilà un mot bien de chez nous, il est vrai ! La belgitude peut se résumer en trois questions : Qui suis-je ? D'où je viens ? Où vais-je ? La belgitude, c'est notre fameuse identité bâtarde et multiple, qui se définit plus volontiers en creux qu'autre chose. Et dans lequel l'humour tente tant bien que mal de colmater les pièces manquantes de notre (trop) grand puzzle identitaire ;-) Véronique Hottathttps://www.blogger.com/profile/15678426383021786529noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4732893028428796833.post-73880111154101345902015-12-19T12:10:31.946+01:002015-12-19T12:10:31.946+01:00Ah ce fameux humour belge, ce bel arbre qui cache ...Ah ce fameux humour belge, ce bel arbre qui cache la forêt... tant il est vrai qu'il s'exporte très bien en France. Et pourtant, j’ai toujours pensé que ce sens de l’autodérision, du burlesque et du surréalisme camouflaient surtout une profonde mélancolie. Sais-tu par exemple que le taux de suicide en Belgique est bien plus élevé que la moyenne mondiale ? Alors oui, il y a sans nul doute de l’humour bien de chez nous, mais surtout beaucoup d’autres choses, comme la perte, le deuil, le déclin, la maladie, la déchéance, la mort.<br /><br />On retrouve d’ailleurs souvent ces thématiques chez les auteurs belges. Pour ne citer que quelques-uns (tous chroniqués sur ce blog) : Sortilèges de Michel de Ghelderode, Bruges-la-Morte de Georges Rodenbach, La grande nuit d'André-Marcel Adamek, Le chagrin des belges de Hugo Claus, Les marais de Dominique Rolin ou Le Boulevard périphérique de Henry Bauchau. Sans oublier Georges Simenon, qui a écrit quelques romans noirs très durs et extrêmement sombres.<br /><br />Mais on préfère en rire qu'en pleurer ;-)<br />Véronique Hottathttps://www.blogger.com/profile/15678426383021786529noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4732893028428796833.post-18898603421685155002015-12-19T09:13:23.004+01:002015-12-19T09:13:23.004+01:00Quoi est-ce la belgitude ? :-)Quoi est-ce la belgitude ? :-)Ronniehttps://www.blogger.com/profile/04454646474700635179noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4732893028428796833.post-58663957774129888592015-12-18T22:12:45.418+01:002015-12-18T22:12:45.418+01:00ça m'étonnerait qu'elle n'ai pas aussi...ça m'étonnerait qu'elle n'ai pas aussi un peu d'humour bien de chez vous?alex-6http://yaquoiachercher.canalblog.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4732893028428796833.post-66989780766138939642015-12-18T17:15:56.520+01:002015-12-18T17:15:56.520+01:00Effectivement, cette mère, qui était aussi femme d...Effectivement, cette mère, qui était aussi femme de boucher et actrice amateur, était vraiment un personnage haut en couleur. Cocasse, drôle, fantasque, un foutu caractère mais terriblement attachante. Elle peut être fière de son fils en tout cas, car ce livre lui fait vraiment honneur. Et contrairement aux apparences (vu le nombre de pages), il se lit assez vite. Ce livre est aussi un bel hommage à une certaine belgitude.Véronique Hottathttps://www.blogger.com/profile/15678426383021786529noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4732893028428796833.post-85140462139889840312015-12-18T16:56:26.997+01:002015-12-18T16:56:26.997+01:00VOUAH! il n'y vas pas par quatre chemins le fi...VOUAH! il n'y vas pas par quatre chemins le fiston! Seul le nombre de pages me rebute un peu mais je suppose qu'avant de sombrer cette dame a dû faire des choses extraordinaires pour susciter de la part de son fils cette idée de roman?alex-6http://yaquoiachercher.canalblog.comnoreply@blogger.com