* * * *
Zootopia (2016) de Byron Howard et Rich Moore
Le Bouton de nacre (El Botón de Nácar, 2015) de Patricio Guzmán
Vers l'autre rive ( Kishibe no tabi, 2015) de Kiyoshi Kurosawa ❤
Shaun le mouton (Shaun the Sheep Movie, 2015) de Richard Starzak et Mark Burton ❤
Harry dans tous ses états (Deconstructing Harry, 1997) de Woody Allen
Goya l'hérétique (Goya, oder Der arge Weg der Erkenntnis, 1971) de Konrad Wolf
Bunny Lake a disparu (Bunny Lake Is Missing, 1965) de Otto Preminger ❤
America, America (1963) d'Elia Kazan
Elle et lui (An Affair To Remember, 1957) de Leo McCarey ❤
* * *
Cemetery of Splendour (Rak ti Khon Kaen, 2015) de Apichatpong Weerasethakul
Miss Hokusai (2015) de Keiichi Hara
Notre petite soeur (Umimachi Diary, 2014) de Hirokazu Kore-eda
Vampires en toute intimité ( What We Do in the Shadows, 2014) de Jemaine Clement
Samson & Delilah (2009) de Warwick Thornton
Celebrity (1998) de Woody Allen
Les Grandes gueules (1965) de Robert Enrico
Les Assassins sont parmi nous (Die Mörder sind unter uns, 1946) de Wolfgang Staudte
Mon épouse favorite (My Favorite Wife, 1940) de Garson Kanin
* * (*)
Ave, César! (Hail, Caesar!, 2016) de Joel et Ethan Coen
Taxi Téhéran (Taxi, 2015) de Jafar Panahi
The Duke Of Burgundy (2014) de Peter Strickland
Ilo Ilo (2013) de Anthony Chen
Police Python 357 (1976) d'Alain Corneau
* * * *
Corps et âme de Frank Conroy ❤
Avenue des mystères de John Irving ❤
* * *
L'intérêt de l'enfant d'Ian McEwan
Bataille de chats d'Eduardo Mendoza
Voici
venu le temps du bilan du mois de mai. Comme vous pouvez le constater,
je n’ai pas beaucoup suivi l’actualité cinématographique ces dernières
semaines : aucun film vu au cinéma (trop la flemme et pas envie de
perdre mon temps dans les transports en communs) et pas un mot sur le
Festival de Cannes (mais QUI a dévoilé subrepticement sa petite culotte
cette année ?). J’ai tout de même regardé la cérémonie d’ouverture du
Festival… et euh… on va tout de suite passer à un autre sujet.
Ceci étant dit, ce mois-ci fut un très bon cru. Il a débuté excellemment avec quelques films japonais
assez récents et tous vus en VOD (remarque en passant, je suis très
satisfaite de la qualité des images en HD et de la facilité
d’utilisation). Passons aux autres films. Mes nominés du mois dans la
section humour sont : Shaun le mouton (2015), Vampires en toute intimité (2014) et une comédie américaine à l’ancienne, Mon épouse favorite (1940), avec le séduisant Cary Grant. Ma Palme d’Or de la comédie romantique revient à Elle et lui (1957) de Leo McCarey.
Je poursuis le cycle consacré à Woody Allen sur une chaîne télévisée belge et ma moisson fut assez bonne également, avec Harry dans tous ses états (1997) et Celebrity
(1998). Ce furent visiblement les années où Woody Allen s’intéressait
de près à un sujet épineux, j’ai nommé la fellation, dans la mesure où
elle occupe une place non négligeable dans ces deux films, avec à la clé
une scène assez mémorable que je ne suis pas prête à oublier. Sacré Woody !
Quelques belles découvertes ont été faites également grâce au programme TV, que je décortique désormais savamment : Samson & Delilah de Warwick Thornton (Caméra d'Or 2009), Goya l'hérétique
(1971) de Konrad Wolf (avec Fassbinder, j’ai appris que Konrad Wolf
(1925-1982) serait le plus grand cinéaste allemand de la seconde moitié
du XXe siècle, comme quoi j’ai encore beaucoup de choses à apprendre sur
le Cinéma et c’est tant mieux) et Les Grandes gueules (1965) de
Robert Enrico (quel plaisir de retrouver Bourvil, Lino Ventura et Michel
Constantin). Et j'ai enfin pris le temps de voir America, America (1963) d'Elia Kazan.
Les
films les moins bien notés ne sont pas mauvais pour autant, disons que
je les ai trouvés bancals tout en n’étant pas dénués d’intérêt. Quelques
abandons en cours de vision mais ils ont été très vite oubliés.
Mes deux coups de cœur littéraires du mois furent Corps et âme de Frank Conroy et le tout dernier roman de John Irving, Avenue des mystères.
Coïncidence, l’ombre tutélaire de Charles Dickens plane sur ces deux
romans, qui sont des récits d’apprentissage de deux jeunes orphelins
pauvres, l’un qui deviendra musicien et l’autre écrivain, au destin
bouleversé par leurs rencontres respectives. John Irving revient en tout
cas en très grande forme, avec un récit foisonnant au rythme trépidant.
L’heure est venue pour moi de mettre ce blog en mode pause pendant une vingtaine de jours à partir du 2 juin,
histoire de me ressourcer en famille tout en découvrant un pays que je
ne connais pas encore, le Monténégro. Mode non connecté et sans laptop.
N’hésitez pas à poster vos commentaires en attendant, je me ferai un
plaisir de vous répondre à mon retour.