Quatrième de couverture
Quand Irene America découvre que son mari, Gil, lit son journal
intime, elle en commence un autre qu’elle met en lieu sûr. C’est dans ce
nouveau carnet qu’elle livre sa vérité sur son mariage
et sur sa vie tandis qu’elle utilise l’ancien pour se venger de son
mari et s’amuser à ses dépens. Gil est devenu un artiste célèbre en
peignant le portrait d’Irene sous de nombreuses formes, et
il réalise que la peur de la perdre le contraint à se dépasser.
Irene termine sa thèse sur George Catlin, le peintre des Indiens, qui a
sillonné l’Ouest américain au début du XIXe siècle. Tandis
qu’ils tentent de maintenir les apparences pour leurs trois enfants,
leur foyer devient un endroit de plus en plus violent et secret. Irene
décide de mettre fin à son mariage et à une relation de
dépendance étrange et ironique, plutôt que de céder à
l’autodestruction. Alternant entre les deux journaux intimes d’Irene et
un récit à la troisième personne, Louise Erdrich explore la nature
complexe de l’amour, les lignes fluides de l’identité et le combat
d’une famille pour sa survie.
Louise Erdrich fait en général l'unanimité auprès des lecteurs alors
que je reste toujours sur les quais, c’est à n’y rien comprendre. Deux
essais, deux échecs. Ni « La malédiction des colombes »
ni « Le jeu des ombres » n’ont réussi à me convaincre, je les ai
tous les deux lâchement abandonnés et ne pense plus y revenir
dorénavant. Alors je me triture les méninges pour essayer de
comprendre ce désintérêt pour les romans de Louise Erdrich. Je
trouve que les personnages manquent vraiment de crédibilité et de
profondeur. Je les confonds souvent allègrement car je n’y crois
jamais un seul instant, raison pour laquelle je reste extérieure du
récit tout au long de ma lecture. L’écriture ne me convainc pas du tout
non plus et je m’y ennuie beaucoup. Certains passages
bâclés arrivent à me décourager totalement, comme par exemple celui
de la demi-sœur qui débarque dans le roman Le jeu des ombres, rarement
lu un passage aussi important écrit de manière aussi mal
fichue. Bref, un auteur définitivement pas pour moi.
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