Quatrième de couverture
"Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ?" Depuis quatre mois, cette phrase accompagne des cercles bleus qui surgissent la nuit, tracés à la craie sur les trottoirs de Paris. Au centre de ces cercles, prisonniers, un débris, un déchet, un objet perdu : trombone, bougie, pince à épiler, patte de pigeon... Le phénomène fait les délices des journalistes et de quelques psychiatres qui théorisent : un maniaque, un joueur. Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas. Ces cercles et leur contenu hétéroclite sont de mauvais augure. Il le sait, il le sent : bientôt, de l'anodin saugrenu on passera au tragique. Il n'a pas tort. Un matin, c'est le cadavre d'une femme égorgée que l'on retrouve au milieu d'un de ces cercles bleus.
Ca y est, j’ai lu enfin mon premier Vargas ! Et j’ai commencé sans le savoir par le roman dans lequel apparaît pour la première fois le commissaire Adamsberg et de son adjoint Danglard.
« L’homme aux cercles bleus » se lit d’une traite. J’aime particulièrement sa façon de croquer les personnages, tous aussi hétéroclites les uns que les autres, avec une mention spéciale pour Adamsberg et la mère de Camille, Mathilde. Sans oublier la ville de Paris, personnage à part entière du roman. Et l’humour présent n’est vraiment pas pour me déplaire non plus.
Ca y est, j’ai lu enfin mon premier Vargas ! Et j’ai commencé sans le savoir par le roman dans lequel apparaît pour la première fois le commissaire Adamsberg et de son adjoint Danglard.
« L’homme aux cercles bleus » se lit d’une traite. J’aime particulièrement sa façon de croquer les personnages, tous aussi hétéroclites les uns que les autres, avec une mention spéciale pour Adamsberg et la mère de Camille, Mathilde. Sans oublier la ville de Paris, personnage à part entière du roman. Et l’humour présent n’est vraiment pas pour me déplaire non plus.
Le seul bémol – mais pas des moindres – concerne l’intrigue qui devient de plus en plus emberlificotée au fil des pages. J’avais déjà eu cette même impression à la vision du film Pars vite et reviens tard adapté par Régis Wargnier. Je retrouve également une certaine similitude des procédés dans les deux romans : les cercles bleus tracés sur les trottoirs de l’un, les grands 4 inversés tracés sur les portes de l’autre. Le dénouement invraisemblable présent dans les deux récits grâce à l’intuition hors pair du commissaire laisse également songeur.
Si l’auteure excelle donc dans la composition des personnages et l’élaboration de l’intrigue initiale, la construction et le dénouement semblent plus laborieux si pas un peu farfelu. Mais peut-être est-ce l’effet recherché ?
Malgré ce bémol, je n’ai pas boudé mon plaisir à la lecture de ce polar et je suis partante pour poursuivre ma découverte de l’auteure.
Un grand merci à Larcane pour avoir eu la gentillesse de m’avoir prêté ce roman alors qu’il ne l’avait pas encore lu lui-même. Avec un peu de chance, tu viendras peut-être poster un petit commentaire lorsque tu l’auras terminé ;-)
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