dimanche 31 janvier 2016

Bilan du mois de janvier 2016

Films


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The Revenant (2015) de Alejandro González Iñárritu 
Béliers (Hrútar, 2015) de Grímur Hákonarson 
Le pont des espions (Bridge of Spies, 2015) de Steven Spielberg
Et (beaucoup) plus si affinités (What If, 2013) de Michael Dowse
Comédie érotique d'une nuit d'été (A Midsummer Night's Sex Comedy, 1982) de Woody Allen ❤
Ma nuit chez Maud (1969) de Eric Rohmer
La Femme modèle (Designing Woman, 1957) de Vincente Minnelli ❤
La Roulotte du plaisir (The Long, Long Trailer, 1954) de Vincente Minnelli  ❤ 
Le Pirate (1948) de Vincente Minnelli ❤
Le chant du Missouri (Meet Me in St. Louis, 1944) de Vincente Minnelli ❤


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 Invisible boy (Il Ragazzo invisibile, 2015) de Gabriele Salvatores
Respire (2014) de Mélanie Laurent 
La promesse d'une vie (The Water Diviner, 2014) de Russell Crowe
Refroidis (Kraftidioten, 2014) de Hans Petter Moland
Ixcanul (2014) de Jayo Bustamante
Rebelle (2012) de Kim Nguyen
Tu seras mon fils (2010) de Gilles Legrand
La grande attaque du train d'or (The First Great Train Robbery, 1979) de Michael Crichton
Affreux, sales et méchants (Brutti, sporchi e cattivi, 1976) de Ettore Scola
La Cinquième Victime (While the City Sleeps, 1956) de Fritz Lang
Les Contrebandiers de Moonfleet (Moonfleet, 1955) de Fritz Lang
La Toile d'araignée (The Cobweb, 1955) de Vincente Minnelli
Règlement de comptes (The Big Heat, 1953) de Fritz Lang
Le démon s'éveille la nuit (Clash by Night, 1952) de Fritz Lang
Le Père de la mariée (Father of the Bride, 1950) de Vincente Minnelli  


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Les Suffragettes (2015) de Sarah Gavron
Les Géants (2011) de Bouli Lanners
Ultranova  (2005) de Bouli  Lanners


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Lost River (2014) de Ryan Gosling
Insensibles (2012) de Juan Carlos Medina



Lectures


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La petite femelle (2015) de Philippe Jaenada
Constantinople (1852) de Théophile Gautier


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India Song (1973) de Marguerite Duras
Le Vice-Consul (1966) de Marguerite Duras  
Le Fantôme de l'Opéra (1910) de Gaston Leroux


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Mater terribilis (2002) de Valerio Evangelisti
La Femme du Gange (1973) de  Marguerite Duras


BD


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La parenthèse (Delcourt, 2010) d'Elodie Durant ❤
Le rapport de Brodeck 1. L'autre (Dargaud, 2015) de Manu Larcenet


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Merlusse (Bamboo Edition, 2015) de Serge Scotto, Eric Stoffel et A. Dan, d'après Marcel Pagnol ❤
Mauvais genre (Delcourt, 2013) de Chloé Cruchaudet
Une métamorphose iranienne (Editions Ca et Là, 2012) de Mana Neyestani
Chroniques birmanes (Delcourt, 2007) de Guy Delisle ❤


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Blacksad, tome 5 : Amarillo (Dargaud, 2013) de  Juan Diaz Canales et Juanjo Guarnido
Sur la route de Banlung : Cambodge 1993 (Dargaud, 2011) de Rochel et Vink
Journal d’un psychanalyste (Marabout, 2004) de Serge Tisseron





4 commentaires:


  1. Un com à propos du revenant ?
    3 étoiles pour 'Invisible Boy', invisible oui comme son scénar. ;-)
    Bien aimé les Suffragettes & le duo Carey Mulligan / Helena Bonham Carter.
    'Brutti, sporchi e cattivi', je plussoie.
    Une recommandation pour février, 'Spotlight', la claque pour ce qui me concerne.
    Bonne journée Sentinelle.

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    1. En ce qui concerne Le revenant, je vais me botter les fesses pour me motiver à écrire un billet un peu près convenable, qui paraîtra sans doute très prochainement. En quelques mots, les détracteurs d’Alejandro González Iñárritu y retrouveront ses habituelles faiblesses (vide, creux, clinquant), mais on ne peut nier l’extrême virtuosité de la caméra. Ajoute à cela les paysages et la lumière sublimes, le casting parfait et une première longue séquence d’introduction qui te cloue dans ton fauteuil. Il nous en met plein la vue et il va sans doute récolter une pluie d’oscars, y compris Leornardo Dicaprio en tant que meilleur acteur masculin, tant il serait totalement incompréhensible (et injuste) de ne pas le récompenser cette année. Et ce n’est pas une fan qui te le dit, je suis donc relativement impartiale dans ce jugement ;-)

      Pour Invisible boy, j’ai trouvé la première partie très agréable et puis euh je ne sais pas trop, j’ai perdu le fil, je me suis déconcentrée et j’ai dû occuper mes pensées par autre chose. Puis je me suis rebranchée sur le film en me disant que la première partie était quand même meilleure. Mais j’ai pris sur moi en me disant que j’étais vraiment une mauvaise spectatrice et je lui ai accordé le bénéfice du doute en lui donnant une demi-étoile en plus aux trois autres. C’est te dire à quel point ma notation est une affaire très sérieuse et sans faille (ohlala je m’enfonce là).

      Pour Brutti, sporchi e cattivi, je t’avoue que je suis un peu perdue avec ce genre de films, car je ne comprends pas trop où le réalisateur a voulu en venir. Ceci dit, j’ai sans doute le tort de vouloir trouver un sens ou un message ou je ne sais quoi de spirituel à tous les films, or celui-ci n’a rien de tel. Bref, je me sens un peu démunie et je ne comprends pas bien. Mais les personnages sont pittoresques et truculents à souhait, et en effet affreux, sales et méchants (et même très cochons). Au moins le titre ne ment pas sur ce qui nous attend ;-)

      Les Suffragettes… ah j’ai trouvé le sujet très intéressant mais le film assez morne, trop mou et finalement sans surprise.

      Pour Spotlight, je le note, même si à priori ce n’est pas trop ma tasse de thé (rien que le synopsis… la fascinante enquête du Boston Globe… gloups) mais il fait si bien parler de lui que je vais essayer de dépasser mes préjugés et aller le voir quand même. Mais sans garantie non plus, car ce fait de société (abus sexuel dans l’Eglise catholique, y compris en Belgique) a déjà fait couler beaucoup d’encre dans nos propres journaux nationaux (y compris avec dossiers et débats télévisés), que j’ai vraiment l’impression de bien connaître le sujet sans avoir particulièrement envie de le voir transposer dans un film inspiré de…

      Très bonne journée à toi Sir Ronnie :-)

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  2. Même si je n'aime pas ce que fait Inarritu et que je m'étais jurée de ne plus aller voir ses films, mais la bande-annonce donne envie, j'ai envie de voir comment est Leo (vu qu'il est très bien parti pour avoir son Oscar, enfiiiiin) et évidemment voir si l'emballement autour de ce film est justifié ou non. J'avoue, j'ai peur mais je ne veux pas non plus partir avec des a priori.

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    1. En toute subjectivité, Iñárritu n'est pas encore un grand maître mais c'est déjà un excellent faiseur. Le revenant n'est donc absolument pas un chef-d’œuvre, mais il a une sacré gueule quand même alors oui, je ne peux que te conseiller d'aller le voir sur grand écran. Maintenant Iñárritu est très ambitieux, au point de perdre un peu son âme pour se coltiner des films lui assurant d'emblée un public américain et international. J'attends avec impatience qu'il nous sorte un jour un film qui vienne de ses tripes, et alors là il sera peut-être l'un des maîtres du 7e art ;-)

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