Le festival de littérature namurois, fondé par l’acteur Benoît Poelvoorde et Chloé Colpé, se déroule comme chaque année à fin de l'été au Théâtre de Namur.
À l’initiative de ce festival, Benoît Poelvoorde lance
une invitation à chacun : se retrouver pour découvrir une sélection
littéraire personnelle et singulière, pour explorer des textes avec des
écrivains et des acteurs, pour découvrir les intersections avec la
photographie, l’illustration, la musique pour partager des émotions, se
rencontrer.
Quelques moments forts du Festival :
Grande lecture : « Eureka Street » de Robert McLiam Wilson lu par David Murgia
Le 02 septembre 2016 à 20h30
Entretien avec Robert McLiam Wilson
Le 03 septembre 2016 à 13h30
Lecture: « Lettres à Nora » de James Joyce lu par Edouard Baer
Le 03 septembre 2016 à 13h30
Entretien : « Donc, c’est non » de Henri Michaux par Jean-Luc Outers
Le 03 septembre 2016 à 15h30
Lettres réunies, présentées et annotées par Jean-Luc Outers
Photographie : autour de Seydou Keita
Le 03 septembre 2016 à 15h45
Entretien : « Peindre, pêcher et laisser mourir » de Peter Heller
Le 03 septembre 2016 à 16h30
Le 03 septembre 2016 à 21h00
Grande lecture : « La supplication » de Svetlana Alexievitch lu par Natalie Dessay
Le 04 septembre 2016 à 12h00
Entretien avec Jens Christian Grøndahl
Le 04 septembre 2016 à 13h15
Discussion autour de la traduction avec Brice Matthieussent
Le 04 septembre 2016 à 14h30
Entretien : « L’opticien de Lampedusa » de Emma-Jane Kirby
Le 04 septembre 2016 à 14h45
Carte blanche de Benoît Peeters
Le 04 septembre 2016 à 15h00
Illustration : la bande défilée de Marietta Ren
Le 04 septembre 2016 à 16h00
Vous trouverez l'intégralité du programme en cliquant sur le lien suivant : Le programme
D'autres informations sur :
L’intime festival – Chapitre 4
Sa page Facebook
La presse en parle :
Hello Sentinelle !
RépondreSupprimerDis donc, ça a l'air bien, tout ça ! Tu y vas ?
Et suis-je en droit d'attendre de ta part une chronique de "Toni Erdmann" ?
Hello Martin,
SupprimerHélas, trois fois hélas ! J'aurais tant aimé y participer tout le we mais j'avais complètement oublié la date du festival lorsque j'ai accepté une invitation samedi. Et je me vois mal ne pas respecter mes engagements, bref je suis coincée toute la journée de samedi (alors que le programme de ce jour me tentait le plus, bien évidemment), mais j'irai probablement dimanche ! Puis c'est l'occasion d'aller à Namur, une ville que je connais très mal finalement.
Je ne désespère pas de trouver le temps d'écrire une chronique sur Toni Erdmann, mais il y aurait tellement à en dire que je ne sais même pas par où commencer. Je vais essayer de condenser tout ça en laissant plein de choses sur le côté, sinon je pourrais en parler pendant des heures je crois. Il suscite en tout cas des avis très contrastés. Tu sais comme j'ai apprécié ce film. Et toi ? Tu as eu l'occasion de le voir ? Si oui, tu fais partie de ceux qui ont beaucoup aimé ou beaucoup détesté ? Allez, c'est quand même un gottverdammt film, non ? ;-)
Bon, j'espère que tu auras l'occasion de t'amuser dimanche... et que ta journée "coincée" de samedi sera agréable aussi, d'une autre façon.
RépondreSupprimerOui, j'ai vu "Toni Erdmann", mais je suis resté entre deux eaux. J'ai bien aimé la petite touche onirique de la fin (la réception d'anniversaire), mais ça ne m'a pas emballé plus que ça. Je m'attendais vraiment à rire et j'ai trouvé ça un peu répétitif, finalement. Et je ne suis pas sûr du tout que Maren Ade ait eu l'intention d'écrire une comédie ! Bref, chronique écrite pour ma part, à laquelle j'ajouterais volontiers un lien vers la tienne si c'est possible. D'autres étant encore intercalés, mon texte est en "liste d'attente" pour une publication prévu d'ici une douzaine de jours.
Bonne journée ! ;-)
J'ai écrit un peu vite car "coincée" n'est vraiment pas le terme adéquat, tant je passerai certainement une agréable journée en bonne compagnie. Mais je m'en veux de n'avoir pas prêté attention aux dates du festival car nous aurions très bien pu fixer un autre jour. La faute à mon étourderie... mais je ne peux que m'en prendre à moi-même.
SupprimerToni Erdmann n'est pas du tout un film comique, et je pense que ce n'était pas du tout dans l'intention de la réalisatrice. Et même si on peut rire parfois au détour de certaines scènes, il est tout sauf séduisant. Dommage car on porte plus de préjudice au film qu'autre chose en le faisant passer pour ce qu'il n'est pas, d'où parfois une grande déception chez le spectateur. Pourtant, je le trouve si riche sur d'autres plans. Quoi qu'il en soit, je l'ai beaucoup aimé mais il est évident que ce film ne fera jamais l'unanimité, et c'est tant mieux finalement.
Quant à ma prochaine chronique à écrire, ma priorité sera avant tout celle concernant ma dernière lecture de Kazuo Ishiguro :)
Très bonne journée à toi également Martin !
Aaaaaaaaaaaaaaaaaah Robert Mc Liam Wilson... il fait partie de mes grands émotions littéraires !!! Euréka Street est un chef d'œuvre, Ripley Boogle et La douleur de Manfred... presqu'autant. Ah tu me donnes envie de les relire... comme s'il n'y avait déjà pas assez de livres que je n'ai pas lus :-)
RépondreSupprimerIl était présent ce dimanche lors de la discussion autour de la traduction avec Brice Matthieussent, qui est le traducteur de Charles Bukowski, John Fante, Jim Harrison, Bret Easton Ellis, mais aussi de Robert Mc Liam Wilson ! Gros coup de cœur pour cet écrivain irlandais, né à Belfast et qui m'a semblé avoir beaucoup de caractère. Il est plein de charme, a de l'humour, ne pratique pas la langue de bois et, cerise sur le gâteau, s'exprime pas mal du tout en français ! Si tu as l'occasion de le rencontrer, n'hésite pas. Du coup, j'ai embarqué avec moi "Les dépossédés".
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