Halil Paşa (ou parfois orthographié Halil Pacha) est un artiste turc né à Istanbul en 1857 et décédé à Istanbul en 1939. Il est reconnu pour ses portraits et les paysages de sa ville natale. Après avoir étudié plusieurs années à Paris, il reviendra dans son pays avec une approche plus impressionniste de la peinture. Il sera nommé professeur de dessin à l'école militaire de Constantinople.
Diyarbakırlı Tahsin pour le bateau en image 7 semble t-il....
RépondreSupprimerEnfin d'après my wife
A vérifier cependant. ;-)
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Rha qu'il est difficile de trancher avec certitude. Mais dans le doute, je vais tout de même retirer cette toile. Merci Madame Ronnie pour cette précision, qui me permet en plus de découvrir un autre peintre turc, que je ne connaissais pas du tout avant ce jour :-)
SupprimerBonjour Sentinelle,
RépondreSupprimerC'est magnifique. Merci pour ces images. Je ne connais rien aux peintres turcs.
Strum
Bonjour Strum,
SupprimerConfidence pour confidence, je n'y connais pas grand-chose non plus.
Je ne suis pas une spécialiste de l'histoire de l'Art ni de la Turquie mais il me semble que les peintres turcs ne sont pas très nombreux, sans doute pour des raisons historiques, culturelles et religieuses. Les artisans turcs se sont par exemple surtout illustrés dans l'ornementation, le tissage, le textile ou la céramique. Pour la petite histoire, j'ai découvert le peintre Halil Paşa au moment de ma lecture du roman "Istanbul, souvenirs d'une ville" de Orhan Pamuk. Des souvenirs de son adolescence lorsqu'il donnait rendez-vous à son amoureuse dans une des salles du musée, où se trouvait une des peintures les plus célèbres de Halil Paşa, celle de la femme allongée sur le divan (4e tableau dans ma présentation). A partir de ce moment-là, je ne pouvais plus passer à côté de ce peintre ;-)
Je découvre que la turquie avait de grands peintres merci de ne pas nous laisser mourir idiot!
RépondreSupprimerIl me semble que même Michel-Ange était allé séjourné là-bas?
Et bien tu m'apprends quelque chose Alex ! Après une petite recherche sur Internet, il se trouve effectivement que Michel-Ange avait été invité en Turquie en 1506, et ce afin de dessiner le futur Pont de Galata, qui enjambe la Corne d'Or. Une proposition qu’il refusera, et une idée qui sera abandonnée jusqu’au 19e siècle. Il paraît que cette histoire est racontée dans le roman « Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants » de Mathias Enard. Forcément, ce roman me tente du coup beaucoup, d’autant plus que cet auteur sera présent à la foire du livre 2016. L’occasion ou jamais de découvrir Mathias Enard, qui a récemment remporté le Prix Goncourt pour son dernier roman « Boussole », qui lui ne me tente guère…
Supprimerj'avais pensé acheter "parle-leur de bataille" car j'ai toujours eu un faible pour l'art de MICHEL ANGE et puis j'avais égaré les réf. Si tu le commente un jour ça me donnera une idée...
SupprimerJe me suis rendue à la foire du livre après mes heures de bureau et je me suis procurée "Parle-leur de ...", avec quelques autres romans (quel doux euphémisme hmhm). Comme il est très court, je le place tout en haut de ma PAL, de façon à le commencer au mois de mars. J'en reparlerai donc bien volontiers.
SupprimerCeci dit, j'ai une autre référence pour toi, à propos d'un roman déjà lu et que j'avais bien aimé également : Pietra viva de Léonor DE RECONDO. Après le décès d'un jeune moine dont la beauté le fascinait, Michelangelo s'est réfugié dans les carrières de Carrare, et ce afin de choisir les plus beaux marbres pour le futur tombeau du pape. C'est également un très court roman, qui se lit très vite.
Tu me fais penser que je suis revenue de Rome avec dans mes valises deux livres sur Les grands Maîtres de l'Art, dont Michel-ange et le Caravage. Nul doute que j'en reparlerai un jour ou l'autre sur mon blog également :-)