Le tueur aveugle est un roman à tiroirs dans lequel
nous retrouvons Iris Chase - femme bourgeoise de plus de 80 ans qui
entame l’écriture de ses Mémoires -, les extraits d’un roman de
science-fiction et les coupures de presses éclairant certains
passages cités par l’héroïne.
L’auteure s’amuse à brouiller les pistes en multipliant les perspectives, dans ce qui semble devenir au fur et à mesure de la lecture un véritable roman fleuve qui prend des allures de saga familiale labyrinthique ancrée dans son époque historique, politique, économique, sociale et culturelle.
A l’instar de l’avant-dernier roman que j’ai lu de la romancière (« La voleuse d’hommes »), je suis à nouveau très mitigée. Roman qui se veut ambitieux de par sa construction et les nombreux thèmes abordés, ses faux-semblants et ses effets en trompe l’oeil, je n’ai pas pu m’empêcher de trouver le temps long.
Pourtant l’écriture est belle, les personnages intéressants, la vision d’Iris Chaise lucide et sans concession. Oui mais voilà, l’intrigue sensée se dévoiler à la fin sous forme d’apothéose n’a jamais été au rendez-vous en ce qui me concerne ! Ayant flairé « l’affaire » à la moitié du roman, je suis totalement passée à côté de l’effet recherché. « Tout ça pour ça » traduit parfaitement ce qui m’est venu à l’esprit à la fin de ma lecture, ce qui est tout de même un peu frustrant, vu les nombreuses heures passées à tenir tant bien que mal pour en finir malgré tout. Sans oublier que la partie science-fiction ne m’a pas convaincue non plus…
Au final, plus de points négatifs que de positifs !
Bilan de mes trois lectures de Margaret Atwood : si j’ai bien aimé « La servante écarlate », la lecture de « La voleuse d’hommes » et « Le tueur aveugle » me semblaient suffisamment fastidieuses pour ne plus avoir envie de poursuivre ma découverte de cette auteure. J’arrête là et je passe définitivement à autre chose. Dommage pourtant… Margaret Atwood a l’art de trouver de très bons titres qui donnent vraiment envie d’aller plus loin mais je ne mordrai plus à l’hameçon !
« Le Tueur aveugle » a été couronné par le Booker Prize en 2000.
L’auteure s’amuse à brouiller les pistes en multipliant les perspectives, dans ce qui semble devenir au fur et à mesure de la lecture un véritable roman fleuve qui prend des allures de saga familiale labyrinthique ancrée dans son époque historique, politique, économique, sociale et culturelle.
A l’instar de l’avant-dernier roman que j’ai lu de la romancière (« La voleuse d’hommes »), je suis à nouveau très mitigée. Roman qui se veut ambitieux de par sa construction et les nombreux thèmes abordés, ses faux-semblants et ses effets en trompe l’oeil, je n’ai pas pu m’empêcher de trouver le temps long.
Pourtant l’écriture est belle, les personnages intéressants, la vision d’Iris Chaise lucide et sans concession. Oui mais voilà, l’intrigue sensée se dévoiler à la fin sous forme d’apothéose n’a jamais été au rendez-vous en ce qui me concerne ! Ayant flairé « l’affaire » à la moitié du roman, je suis totalement passée à côté de l’effet recherché. « Tout ça pour ça » traduit parfaitement ce qui m’est venu à l’esprit à la fin de ma lecture, ce qui est tout de même un peu frustrant, vu les nombreuses heures passées à tenir tant bien que mal pour en finir malgré tout. Sans oublier que la partie science-fiction ne m’a pas convaincue non plus…
Au final, plus de points négatifs que de positifs !
Bilan de mes trois lectures de Margaret Atwood : si j’ai bien aimé « La servante écarlate », la lecture de « La voleuse d’hommes » et « Le tueur aveugle » me semblaient suffisamment fastidieuses pour ne plus avoir envie de poursuivre ma découverte de cette auteure. J’arrête là et je passe définitivement à autre chose. Dommage pourtant… Margaret Atwood a l’art de trouver de très bons titres qui donnent vraiment envie d’aller plus loin mais je ne mordrai plus à l’hameçon !
« Le Tueur aveugle » a été couronné par le Booker Prize en 2000.
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