Daniel Mendelsohn s'interroge sur les pages manquantes de son histoire familiale, à savoir
ce que sont devenus le frère de son grand-père maternel (Shmiel), sa
femme (Ester) et leurs quatre filles (Lorka, Frydka, Ruchele et
Bronia). Il sait qu'ils ont été tués quelque part dans l'est de
la Pologne, en 1941, mais quand, comment, où exactement… autant de
questions qui le hantent jusqu'au jour où il décide de partir
à la rencontre de ces disparus, ou plutôt des personnes qui les ont
connus et qui vivent actuellement aux quatre coins du monde.
Afin de prendre de la hauteur par rapport à sa propre histoire familiale et d’atteindre à une certaine forme d’universalité des thèmes abordés, l’auteur nous livre également ses commentaires des premiers versets de la Torah ainsi que ceux des grands rabbins.
Daniel Mendelsohn est sans conteste un humaniste : il ne juge pas et est convaincu que tous les humains sont semblables. L'ignominie, la cruauté, la lâcheté ne sont en rien une caractéristique nationale : où qu'on soit, il y aura toujours quelqu'un qui essayera de sauver son prochain au péril de sa vie et un autre pour le massacrer sans état d'âme, tout est et sera toujours une question de choix.
Les disparus de Daniel Mendelsohn est un grand coup de cœur.
Afin de prendre de la hauteur par rapport à sa propre histoire familiale et d’atteindre à une certaine forme d’universalité des thèmes abordés, l’auteur nous livre également ses commentaires des premiers versets de la Torah ainsi que ceux des grands rabbins.
Daniel Mendelsohn est sans conteste un humaniste : il ne juge pas et est convaincu que tous les humains sont semblables. L'ignominie, la cruauté, la lâcheté ne sont en rien une caractéristique nationale : où qu'on soit, il y aura toujours quelqu'un qui essayera de sauver son prochain au péril de sa vie et un autre pour le massacrer sans état d'âme, tout est et sera toujours une question de choix.
Les disparus de Daniel Mendelsohn est un grand coup de cœur.
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