Quatrième de couverture
Réveillée tard le matin de Noël, Holly se voit assaillie par un sentiment d' angoisse inexplicable. Rien n'est plus comme avant. Le blizzard s'est levé, les invités se décommandent pour le déjeuner traditionnel. Holly se retrouve seule avec sa fille Tatiana, habituellement affectueuse, mais dont le comportement se révèle de plus en plus étrange et inquiétant...
Pourtant précédé de bonnes, voir de très bonnes critiques en général (bien qu’il y ait aussi quelques avis plus mitigés), je dois bien avouer que je suis totalement passée à côté de ce roman. Que d’ennui, de lassitudes, de répétitions lassantes. Quelle écriture plate et sans relief. Que tout cela tourne en rond et sur lui-même. Il y a bien quelques sujets des plus intéressants (l’hérédité, les maladies génétiques, la fatalité, le sentiment d’abandon, le déni) mais le traitement qu’en fait Laura Kasischke a été totalement inopérant en ce qui me concerne. Une lecture laborieuse et une déception assez vive malgré un final percutant qui ne sauve malheureusement pas le reste du récit bien trop poussif à mon goût.
« Le passé réside en soi. »
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