Otto Dix, les autoportraits
Otto Dix (Untermhaus, près de Gera, 1891 – Singen, 1969) est un peintre et graveur allemand associé aux mouvements de l'expressionnisme et est un des fondateurs de la Nouvelle Objectivité. Fasciné par tous les aspects de la vie humaine et par les extrêmes, ses sujets de prédilection seront la guerre, la grande ville (avec son cortège de mutilés, de mendiants et de prostituées), la religion et le lien insoluble entre Éros et Thanatos. Il réalisera de nombreux autoportraits tout au long de sa vie. Autoportrait d'un fumeur, 1913 Denzlinge, Collection particulière Petit autoportrait, 1913 Stuttgart, Galerie der Stadt Stuttgart Autoportrait avec casque de l'artillerie, 1914 Stuttgart, Galerie der Stadt Stuttgart Autoportrait en soldat, 1914, Stuttgart, Galerie der Stadt Stuttgart Autoportraits, 1914 Lawrence, Spencer Museum of ARt Autoportrait en Mars, 1915 Freital, Haus der Heimat A la beauté, 1922 Wuppertal, Von der Heydt-Museum ...

*alex pas anonyme: j'ai lu une inteview de sa fille qui expliquait qu'elle avait passée une grande partie de son enfance avec des nounous et qu'elle en était réduit à sentir les puls de sa mère pour se rappeler; c'est qu' à la fin de sa vie qu'elle est redevenue une mère attentive! sa relation avec un coureur comme Montand n'avait rien arrangé si ce n'est l'enfoncer dans l'alcoolisme mais c'est vrai que jeune c'était une jolie femme et une très bonne actrice qui avait un engagement politique intéressant.
RépondreSupprimerJe ne jugerai pas Simone Signoret sur sa vie de femme ou ses choix en tant que mère, même si je peux comprendre les regrets de sa fille. Ceci dit, je pense que c’est toujours le lot de beaucoup d’ enfants d’artistes, confiés volontiers à des nourrices ou envoyés au pensionnat suite à l’absence prolongée des parents. Quant à sa carrière de comédienne, je considère Simone Signoret comme une des meilleures actrices françaises : elle avait une présence incroyable et donnait une réelle profondeur à ses personnages. Je n’apprécie pas particulièrement Alain Delon mais l’alchimie qu’il y avait entre eux crevait l’écran et c’est toujours un régal de voir ou de revoir les films qu’ils ont joués ensemble. J’ai vu dernièrement un reportage qui lui était consacré, et dans lequel elle confiait dans une interview qu’elle avait pris beaucoup de poids et qu’elle avait connu des problèmes d’alcool, que c’était sans doute une forme de destruction mais que ce physique abimé lui avait aussi permis de jouer des rôles qu’elle n’aurait sans doute jamais interprétés si elle n’avait pas connu cette forme de déchéance. Et je pense qu’elle avait raison. Puis Simone, c’est aussi une voix si particulière et un regard dans lequel passaient tant de choses…
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