mardi 31 octobre 2017

Bilan du mois d'octobre


Films

Faute d’Amour (Nelyubov, 2017) d’Andreï Zviaguintsev ❤
Blade Runner 2049 (2017) de Denis Villeneuve  ****
Au revoir là-haut (2017) d'Albert Dupontel ***(*)

Refugiado (2014) de Diego Lerman **(*)
Tonnerre (2014) de Guillaume Brac ***
The Truth about Emanuel (2013) de Francesca Gregorini ***
24 Hour Party People (2002) de Michael Winterbottom **
Crimes et délits (1989) de Woody Allen ****
Muriel ou le Temps d'un retour (1963) d'Alain Resnais ***
Miss Oyu (Oyû-sama, 1951) de Kenji Mizoguchi ****
Printemps Tardifs (Banshun, 1949) de Yasujirô Ozu ****
Pris au piège (Caught, 1949) de Max Ophuls ***



Lecture


Romans :

Notre vie dans les forêts (P.O.L, 2017) de Marie Darrieussecq **
L'ordre du jour (Actes Sud, 2017) d'Éric Vuillard 
Ils vont tuer Robert Kennedy (Gallimard, 2017) de Marc Dugain ***
L'attrapeur de libellules (10 X 18, 2013) de Boris Akounine ***
Le problème Spinoza (Galaade Editions, 2011) de Irvin Yalom **

Relecture 

Les Androïdes rêvent-ils de moutons électriques? (J'ai Lu, 1985) de Philip K. Dick ***


Essais :

Apprendre à philosopher : Hume
Apprendre à philosopher : Heidegger
Apprendre à  philosopher : Freud
Lettre sur le bonheur : Lettre à Ménécée d'Épicure
Contre-histoire de la philosophie, tome 2 : Le Christianisme hédoniste de Michel Onfray




Bandes dessinées : 

La favorite (Actes Sud, 2015) de Matthias Lehmann ****
Comment naissent les araignées (Casterman,  2015) de Marion Laurent ***
Le sentier des reines (Casterman, 2015) d'Anthony Pastor ****
Tsunami (Futuropolis, 2013) de Pendanx et Piatzszek ❤


14 commentaires:

  1. Beau bilan.
    Il y a des films que je ne connais pas et des livres que je ne lirai jamais :-)

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    1. Tu sais ce qu'on dit : on ne doit jamais dire jamais :-)

      Mizoguchi, Ozu, si tu ne connais pas, il faut y aller.

      Je suis contente de mon mois aussi finalement. Et j'ai repris mes billets livresques à un bon rythme en plus.

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  2. Mon Woody Allen préféré (Crimes et Délits, film génial - ravi que tu aies aimé :) ), un des plus beaux Mizoguchi (Miss Oyu), un classique d'Ozu (Printemps tardif) et un Resnais que j'aime beaucoup (Muriel) : quel mois d'octobre !

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    1. "Mon Woody Allen préféré"
      Oui, je m'en suis souvenue ;-)

      "un des plus beaux Mizoguchi (Miss Oyu)"
      Je vais poursuivre ma découverte du réalisateur, j'espère tout de même de ne pas avoir vu le meilleur d'emblée !

      "un Resnais que j'aime beaucoup (Muriel)"
      Je ne suis pas totalement convaincue mais l'évocation de Boulogne-sur-Mer en 1962 a emporté mon adhésion.

      "quel mois d'octobre !"
      Ma foi, oui :-)

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    2. Oh non, tu n'as pas vu le meilleur Mizoguchi, rassure-toi. Je pense que le trio magique Les contes de la lune vague après la pluie, Les amants crucifiés et L'intendant Sancho surpasse Miss Oyu en beauté pure. J'ai un souvenir tellement émerveillé de ces trois films que j'hésite presque à les revoir, et en même temps je ne veux pas les chroniquer sans les avoir revus, impossible dilemme. Mais Miss Oyu est un film important car il révèle le secret d'artiste de Mizoguchi - j'en ai dit quelques mots chez moi. :)

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    3. Je pensais voir prochainement Les contes de la lune vague après la pluie, le titre étant tellement prometteur. Mais je me laisserai guider en fonction du moment. J'ai aussi été très séduite par la beauté de certains plans dans Miss Oyu.

      Ah mais je me souviens bien de ton billet, c'est sa lecture qui m'avait donnée envie de le voir d'ailleurs.

      Je pense que tu peux les revoir sans crainte ;-)

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    4. Amusante remarque de Strum plus haut, sur son dilemme cornélien de revoir ou non les 3 films susmentionnés. J'avais eu la même appréhension avant de revoir la filmo de Mizoguchi, j'avais peur de perdre un peu de l'éblouissement ressenti à la première vision. On perd il est vrai un (tout) petit peu du choc ressenti à la première vision en les revoyant, mais le plaisir et l'admiration sont toujours là.

      A la trilogie susmentionnée, je rajouterais La Vie d'O'Haru et L'Impératrice Yang Kwei-Fei (je crois l'avoir déjà dit sur le blog de Strum). Ce sont à mes yeux ses 5 meilleurs.
      Bonne continuation avec Mizoguchi-san !

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    5. Toutes nos premières fois ont une saveur particulière et je comprends cette crainte. Mais je suis rarement déçue, lorsque je relis un roman que j'ai particulièrement aimé, ou lorsque je revois un film qui m'a touchée. La magie opère toujours. Je pense que notre sensibilité ne change pas vraiment au fil du temps, et ce qui nous a émus dans le passé continuera de nous toucher dans le présent, comme dans le futur. Je te remercie pour ces bons conseils, que je note précieusement :-)

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  3. Tu titilles ma curiosité avec le Mizoguchi !
    Et j'ai bien envie d'aller voir le Zviaguintsev, mais pas sûr que je trouve le temps...

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    1. Deux films à ne pas louper. Dommage pour le Zviaguintsev, j'essaye toujours de voir ses films au cinéma, car j'ai le sentiment qu'on y perd quelque chose sur le petit écran (tu me diras, pour tous les films, mais ceux-là particulièrement).

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  4. Je n'ai aucun souvenir de Muriel ou 24 hours alors que Winterbottom est un de mes réalisateurs préférés.

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    1. 24 Hour Party People de Michael Winterbottom est passé dernièrement à la télé, et là, pour le coup, je l'avais enregistré. Il était présenté par John Lydon, ex Johnny Rotten, ex Sex Pistols. Le propos est décousu mais le sujet intéressant, il pourrait te plaire.

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  5. Refugiado et 24 hour party people m'ont pas mal déçue (j'aurais mis les mêmes notes).
    Hâte de découvrir Au-revoir là-haut !

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    1. Je n'attendais rien de spécial de Michael Winterbottom (je le connais assez mal), mais j'ai été un peu déçue concernant Refugiado, car là, pour le coup, j'en attendais plus. Mais j'ai mis un demi-point en plus que le précédent pour le sujet, courageux et risqué, vu à hauteur d'enfant qui plus est.

      Au-revoir là-haut, j'ai aimé le roman, la BD et le film. Ils se ressemblent, bien évidemment, tout en ayant chacun sa touche particulière.

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