Quatrième de couverture
Isolée sur un atoll de l'océan Indien, la fine fleur de la physique
mondiale est en quête du Graal. Elle œuvre à un ambitieux projet fondé sur la
théorie des cordes, qui permettrait d'ouvrir le temps. S'ils parviennent avec
ravissement à contempler le passé de l'humanité - la crucifixion du Christ ou
la terre à l'ère jurassique -, les scientifiques perçoivent rapidement que ce
programme, financé par de mystérieux fonds privés, pourrait connaître des
applications moins angéliques. Un drame conduit à la suspension immédiate des
recherches, dispersant aux quatre vents les apprentis sorciers.
Dix ans plus tard, clans une université de Madrid, Elisa Rohledo déplie un journal pour étayer une thèse de physique théorique. Une fraction de seconde lui suffit à comprendre qu'elle est en danger de mort. Aux côtés d'un confrère, depuis toujours intrigué par la modestie des aspirations professionnelles de la séduisante physicienne au regard de son cursus académique, Elisa et ses anciens acolytes retournent aux origines de la tragédie, sur cet îlot où ils avaient profané le temps.
Bilan de lecture mitigé : je m’attendais à un thriller haletant de bout en bout et je me suis retrouvée avec un roman qui démarre bien mais qui rapidement ne tient plus ses promesses, la monotonie guettant même en fin de parcours. Pourtant le thème avait tout pour me séduire et la fluidité de l’écriture de Somoza est toujours aussi agréable à lire. Mais trop de répétitions, le manque de souffle, une histoire qui s’englue, des ficelles narratives récurrentes et des explications qui manquent cruellement de vraisemblance ont fait que je me suis retrouvée à tourner les pages gentiment mais sans conviction aucune, avec même une pointe d’ennui (un comble pour un thriller). C’est étrange mais Somoza a réussi à me faire totalement douter de la crédibilité de son récit là où d’autres auteurs, beaucoup plus fantasques et imaginatifs, réussissent à me convaincre de par la cohérence de l’univers qu’ils proposent. Dommage car il y avait matière à construire un thriller plus efficace et mieux abouti.
Dix ans plus tard, clans une université de Madrid, Elisa Rohledo déplie un journal pour étayer une thèse de physique théorique. Une fraction de seconde lui suffit à comprendre qu'elle est en danger de mort. Aux côtés d'un confrère, depuis toujours intrigué par la modestie des aspirations professionnelles de la séduisante physicienne au regard de son cursus académique, Elisa et ses anciens acolytes retournent aux origines de la tragédie, sur cet îlot où ils avaient profané le temps.
Bilan de lecture mitigé : je m’attendais à un thriller haletant de bout en bout et je me suis retrouvée avec un roman qui démarre bien mais qui rapidement ne tient plus ses promesses, la monotonie guettant même en fin de parcours. Pourtant le thème avait tout pour me séduire et la fluidité de l’écriture de Somoza est toujours aussi agréable à lire. Mais trop de répétitions, le manque de souffle, une histoire qui s’englue, des ficelles narratives récurrentes et des explications qui manquent cruellement de vraisemblance ont fait que je me suis retrouvée à tourner les pages gentiment mais sans conviction aucune, avec même une pointe d’ennui (un comble pour un thriller). C’est étrange mais Somoza a réussi à me faire totalement douter de la crédibilité de son récit là où d’autres auteurs, beaucoup plus fantasques et imaginatifs, réussissent à me convaincre de par la cohérence de l’univers qu’ils proposent. Dommage car il y avait matière à construire un thriller plus efficace et mieux abouti.
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