Salut Sentinelle. C'est cool, dis donc, quand tu dis que ce peintre est l'un des plus connus internationalement, je constate que je ne le connais pas. Je suis vraiment ignare en peinture, ma parole...
Merci à toi de nous présenter cet artiste. Je trouve ça vraiment beau. En arrivant sur la page, j'ai cru à une photo en voyant la première. Quel remarquable travail sur les reflets !
Je l’ai découvert dans un musée, je me souviens plus très bien lequel mais je pense que c’était à Londres. Et je ne l’ai jamais oublié tant je suis restée longuement devant quelques-unes de ses toiles aux remarquables reflets, comme tu le soulignes bien ;-)
Otto Dix (Untermhaus, près de Gera, 1891 – Singen, 1969) est un peintre et graveur allemand associé aux mouvements de l'expressionnisme et est un des fondateurs de la Nouvelle Objectivité. Fasciné par tous les aspects de la vie humaine et par les extrêmes, ses sujets de prédilection seront la guerre, la grande ville (avec son cortège de mutilés, de mendiants et de prostituées), la religion et le lien insoluble entre Éros et Thanatos. Il réalisera de nombreux autoportraits tout au long de sa vie. Autoportrait d'un fumeur, 1913 Denzlinge, Collection particulière Petit autoportrait, 1913 Stuttgart, Galerie der Stadt Stuttgart Autoportrait avec casque de l'artillerie, 1914 Stuttgart, Galerie der Stadt Stuttgart Autoportrait en soldat, 1914, Stuttgart, Galerie der Stadt Stuttgart Autoportraits, 1914 Lawrence, Spencer Museum of ARt Autoportrait en Mars, 1915 Freital, Haus der Heimat A la beauté, 1922 Wuppertal, Von der Heydt-Museum ...
Otto Dix (Untermhaus, 1891 – Singen, 1969) est un peintre expressionniste allemand. Engagé en tant que volontaire dans l'artillerie de la campagne allemande pendant la première guerre mondiale, il dénoncera par la suite les atrocités de la guerre et les amères désillusions qui s'en suivront. Il se consacrera à des sujets plus religieux après avoir été exclu de l'enseignement à l'académie de Dresde, les nazis le considérant comme un peintre décadent. Il sera ensuite contraint de participer à la Seconde Guerre mondiale et sera fait prisonnier en Alsace par les Français. « Des poux, des rats, des barbelés, des puces, des grenades, des bombes, des cavernes, des cadavres, du sang, de l’eau-de-vie, des souris, des chats, des gaz, des canons, de la crotte, des balles, des mortiers, du feu, de l’acier, voilà ce qu’est la guerre ! » « Je n’ai pas peint d’images de guerre pour empêcher la guerre, je n’en aurais pas été capable. Je les ai peintes pour conjurer la guerre. T...
Hedy Lamarr... Un nom qui évoque peu de choses pour beaucoup. On se souvient vaguement d’une actrice hollywoodienne, star des années 30 et 40, célébrée pour sa beauté et ses excès, avant de sombrer dans l’oubli à partir des années 60. Comment concilier cette icône glamour du cinéma hollywoodien avec l'inventrice d'une technique de codage de transmissions destinée à sécuriser les communications militaires ? Breveté en 1941, ce procédé deviendra la base des technologies modernes tels que le Bluetooth ou le GPS. Dans son livre, Alessandro Barbaglia remonte à l'origine du mythe et interroge la place des femmes de génie dans l'histoire : si souvent effacées, ignorées, oubliées. Explorer la vie de Hedy Lamarr, c’est aussi plonger dans ce qui résonne dans la sienne et sa propre soeur – une autre femme insaisissable, belle, intelligente et sans doute un peu trop fragile. Un récit intime, touchant, dédié à toutes celles qui tombent. Extraits : ...
* * * * * La Maison aux sortilèges d'Emilia Hart (Editions Les Escales, 2023) Je voulais vivre de Adélaïde de Clermont-Tonnerre (Grasset, 2025) * * * * La Cour maudite d'Ivo Andric (Noir sur Blanc, 2025) Heurs et malheurs du sous-majordome Minor de Patrick deWitt (Actes Sud, 2017) * * * (*) Les Dés de Ahmet Altan (Actes Sud, 2025) * * * La Mort en blanc de Ragnar Jónasson (Editions la Martinière, 2024)
Première guerre mondiale. Julien (Mathieu Carrière), jeune musicien luxembourgeois subsistant tant bien que mal à Paris en tant que critique musical dans un journal, reçoit un télégramme de son ami français, mobilisé dans l'aviation. Ce dernier l'invite à le rejoindre dans sa propriété familiale de Bray, le temps d'une permission. Mais lorsque Julien parvient à la maison isolée de Jacques (Roger Van Hool), à l'orée de la forêt, ce n'est pas son ami qui le reçoit mais une mystérieuse femme (Anna Karina), dont il ne sait si elle est une servante, une compagne ou une parente de Jacques. Commence une longue attente... L'adaptation d'une nouvelle de Julien Gracq (Le roi Cophetua) par André Delvaux permet à ce dernier de nous offrir un film qui retient toute notre attention de par l'atmosphère qui s'en dégage, aux frontières du réel et de l'imaginaire, oscillant entre les souvenirs du passé, l'attente et l'appréhension du présent et...
L'exposition « Luz y sombra. Goya et le réalisme espagnol » à Bozar, dans le cadre Europalia España, peut dérouter si vous vous attendiez à découvrir les grandes œuvres du maître. Car il n'y en aura absolument aucune et il faudra se contenter essentiellement de quelques gravures à l'eau forte. Par contre, vous allez découvrir énormément d'autres artistes contemporains de Goya ou des générations suivantes, qui ont été fortement influencés par le peintre. J'avoue humblement avoir été déçue car je n'ai pas retrouvé ma stupeur devant ses grandes peintures, qui m'avaient tant impressionnée lorsque j'étais allée le voir au musée du Prado à Madrid. Quelques mots sur Francisco de Goya : Francisco de Goya (Fuendetodos, 1746 – Bordeaux, 1828) est un peintre et graveur espagnol. Ses peintures critiquent les injustices sociales et les faiblesses humaines, tout en révélant ses visions cauchemardesques, où se mêlent obsessions, hallucinations, scènes de sorceller...
Films vus ou revus Stan & Ollie (2019) de Jon S. Baird *** Fahrenheit 451 (2018) de Ramin Bahrani ** Ready Player One (2018) de Steven Spielberg **** Everybody Knows (Todos lo saben, 2018) d' Asghar Farhadi *** Au poste ! (2018) de Quentin Dupieux ** Fleuve noir (2018) d'Erick Zonca ° Après la guerre (2018) d'Annarita Zambrano *** The Rider (2017) de Chloé Zhao *** Good Time (2017) de Benny Safdie et Josh Safdie **** L'Homme aux mille visages (2017) d'Alberto Rodriguez ° Edge Of Tomorrow (2014) de Doug Liman *** La disparition d'Eleanor Rigby : Elle (2014) de Ned Benson ** La disparition d'Eleanor Rigby : Lui (2014) de Ned Benson *** J'ai rencontré le Diable (2011) de Kim Jee-Woon ** Les Destinées sentimentales (2000) d'Olivier Assayas ° Au revoir les enfants (1987) de Louis Malle *** Mon Oncle d'Amérique (1980) d'Alain Resnais *** Chere inconnue (1980) de Moshe Mizrahi *** Moonraker (1979) d...
Autoportrait de Goya, 1783 Goya, cauchemar plein de choses inconnues, De fœtus qu'on fait cuire au milieu des sabbats, De vieilles au miroir et d'enfants toutes nues Pour tenter les Démons ajustant bien leurs bas. Charles Baudelaire, Les fleurs du mal Francisco de Goya (Fuendetodos, 1746 – Bordeaux, 1828) est un peintre et graveur espagnol. A 13 ans, Goya entre en apprentissage chez le peintre José Luzan (1710–1785), qui avait étudié le style baroque tardif en Italie. Malgré les rebuffades de l’Académie de Madrid, le jeune Goya entreprend à ses frais un voyage d’étude en Italie, avant de revenir à Saragosse, où il peint des fresques dans les églises pour gagner sa vie. Son œuvre prend un tournant lorsqu’il se rend à Madrid en 1774, à la demande de Mengs (1728–1779), et ce afin de travailler dans la manufacture royale de tapisseries. Dès sa nomination en tant que membre de l’Académie San Fernando, Goya a comme ambition de trouver de nouveaux commanditaires da...
Delville réalise des peintures monumentales comme les cinq panneaux ornant le Palais de Justice de Bruxelles. Un travail d'envergure dont la réalisation s'étendra de 1907 à 1914 mais les panneaux seront malheureusement détruits dans un incendie en 1944. Ils seront remplacés en 1950 par des esquisses plus petites. La composition sur quatre panneaux symbolise l'évolution de la Justice à travers les âges : la période biblique, la période chrétienne, la Justice au Moyen-Age et la Justice moderne. La Justice ancienne ou La Justice d'autrefois, dessin préparatoire à la composition pour le Palais de Justice de Bruxelles, 1911-1914 Crayon, crayon bleu, craie et fusain sur carton 130 * 98 cm, Collection privée La Loi morale ou La Justice de Moise, dessin préparatoire à la composition pour le Palais de Justice de Bruxelles de Jean Delville, 1911-1914 Crayon et et fusain sur carton 120 * 191 cm, Collection privée La Justice chrétienne ou Le Christ consolant ...
Salut Sentinelle. C'est cool, dis donc, quand tu dis que ce peintre est l'un des plus connus internationalement, je constate que je ne le connais pas. Je suis vraiment ignare en peinture, ma parole...
RépondreSupprimerMerci à toi de nous présenter cet artiste. Je trouve ça vraiment beau. En arrivant sur la page, j'ai cru à une photo en voyant la première. Quel remarquable travail sur les reflets !
Je l’ai découvert dans un musée, je me souviens plus très bien lequel mais je pense que c’était à Londres. Et je ne l’ai jamais oublié tant je suis restée longuement devant quelques-unes de ses toiles aux remarquables reflets, comme tu le soulignes bien ;-)
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