
Mysticisme, ostracisme, fascisme et communisme. Voilà le parcours escarpé et chaotique d’un vieil homme qui se souvient…
Alejandro Jodorowsky réinvente son enfance sous forme de poème onirique où l’univers du conte, le symbolisme, le surréalisme, le burlesque et l’allégorie se disputent aux monstres, masques mortuaires et autres clowns sans oublier la figure du martyr. Car il faut bien souffrir pour espérer une rédemption purificatrice de tous ces péchés. Et Dieu sait que les péchés du père furent nombreux…
Un film parfois violent, souvent foutraque, quelques scènes crûes mais avant tout un film poétique. L’œuvre testament d’un homme qui se réapproprie son enfance.
Il faudra que tu me donne quelques leçons pour réussir à faire des avis de cinéma qui tiennent la route.
RépondreSupprimerIl me faudrait pouvoir prendre des notes durant lé séance, et surtout revoir les fims ou du moins les séquences, comme je relis certains passages de livres, pour pouvoir parler correctement d'un film.
Un petit truc qui m'aide bien : je note en vrac sur une feuille quelques mots clés et quelques impressions. Puis je mets en musique tout ça. Bon courage !
Supprimer